La beauté du monde, souvent, me fait mal aux yeux. Ce n’est je ne sais quoi. Une harmonie sortie de rien. Une composition non voulue, mais qui, par toute la sève de la vie qui pulse en elle chaque saison, avec ici un près, là un bosquet et encore là un troupeau de moutons réapparus on ne sait comment à la sortie de l’hiver et qui tout à coup, vous offre au détour d’un chemin, un tableau plus parfait qu’on aurait pu le penser.
Et à chaque fois, cela nous émeut à en presque pleurer.

On aimerait être peintre, pour pouvoir capturer cet instant de beauté. retranscrire avec nos couleurs, pinceaux ou crayons, la pefrection d’un décor pourtant sauvage et qui ne doit à son équilibre que lui même.